Et jusqu’à dimanche inclus de 10h30 à 20h tous les jours, à la galerie Durev, 56 Bld de Latour Maubourg 75007.
Alors là, attention… Urgence
Un tirage du légendaire Ayrton Senna de Paul-Henri Cahier, la plus belle photographie de lui que je n’ai jamais vue a été vendu hier.
So what ? Pourquoi il nous dit ça ?
Parce que c’était l’avant dernier de ce format et qu’il n’en reste qu’un aussi dans les formats supérieurs.
Donc j’alerte. That’s all.
En cliquant dessus, vous aurez toutes les infos.
Il ne reste donc qu’un tirage en 40X60, que vous pouvez voir à la galerie jusqu’à dimanche, le N°10/10 et aussi un 60X90, le N°5/5 qui n’est pas là mais facile à imaginer.
En fait il reste aussi une EA (Epreuve d’Artiste) que Paul-Henri Cahier l’auteur se réserve.
Il consentira peut être à s’en séparer mais son prix frisera l’indécence, c’est sûr.
On verra quand les deux autres seront parties, mais à moins d’une offre magnifique, je ne le dérangerai pas pour avoir son accord pour ce tirage d’autant que la dernière. L’EA N°1/2 a déjà été vendue pour un très grand format. Si en plus il est en train de cuisiner sa sauce à l’arrabiata avec les tomates du jardin, je ne prendrai pas le risque.
Une seconde photographie avance aussi vers le sold out. Même pas besoin de vous la montrer, vous la connaissez tous ou presque. Rafa de Corinne Dubreuil (les mains). Hier le N°12X12 du format 40X60 a été vendu et donc ce format est épuisé. Il reste des 60X90 (4) et des 80X120 (2).
Pour les distraits ou les nouveaux, il faut consulter ce lien :
https://www.jeandeniswalter.fr/la-main-de-rafa-2012/
Ce sont deux photographies très importantes. Elles ont toute deux participé à l’aventure de la galerie. Dès le début pour Rafa et pas longtemps après pour Senna
Si je ne devais en avoir qu’une pour chacun de ces champions, genre je pars sur une ile déserte, je choisirais sans hésiter ces deux-là.
Quand encore à L’Equipe, j’ai commencé à réfléchir à ce projet de galerie. Corinne était déjà sur le porte bagage. Certaines de ses photos étaient dans ma tête et donc dans le catalogue de base, celui que j’avais imaginé. Paul Henri, je connaissais son travail et celui de son père Bernard, mais nous ne nous étions jamais vus ni parlés. Ça c’est fait très vite ensuite.
Entre le père et le fils, nous avons affaire à une dynastie. Deus grands photographes de course automobile et la collection va de Fangio (par Bernard) à Verstappen (par PH) donc il n’y a pas de trous dans la raquette d’autant qu’il y a eu des années de chevauchement entre leurs deux carrières.
Virus et talent se sont transmis ensemble. C’est quelque chose la génétique quand même.
L’offre du jour concernera un nouveau, Jérôme Brouillet.
Jérôme, je ne le connaissais pas avant les JO. Mais quand je l’ai découvert, le monde entier l’a fait avec moi.
Il est l’auteur de la photo de Gabriel Medina, le surfeur brésilien qui célèbre en lévitation faite à Teahupoo au début des JO. Il était inconnu en juillet et célèbre en aout..
Un peu comme Bilal Aouffen l’auteur de la Rue Lepic (aussi dans l’exposition)
Il est un photographe de surf reconnu, mais déjà ce n’est pas facile de tomber sur un magazine de surf si on est pas vraiment dedans et si c’était le cas, vous ne feriez pas attention aux crédits photos.
Il travaillait pour l’AFP pour ces JO, la force de frappe de l’agence a fait le reste..
J’exposais à la galerie où je suis actuellement pendant les JO et je me souviens que c’est un visiteur anglais qui m’a alerté en brandissant son téléphone : « Amazing picture ! amazing picture ! »
Donc j’ai jeté un œil. » Ah oui d’accord »
Je ne vous raconterai pas de nouveau toute l’histoire de l’arrivée de cette photographie au catalogue. Mais seulement que c’est à Bali, en sirotant une Bintang dans un restaurant proche d’Ubud que nous avons contractualisé.
C’est vous dire si je suis prêt à payer de ma personne.
Jérôme vit à Tahiti, moi en région parisienne, c’était bien comme lieu de rendez-vous.
Pour cette photographie, Jérôme a vécu un dilemme.
La mettre en édition ouverte avec des tirages à petits prix pour que sa communauté de surfeurs puisse acquérir. Ils ont déjà parfois du mal à réunir ce qu’il faut pour acheter un sachet de weed. Ou la mettre entièrement en édition limitée à trente tirages avec les prix monstrueux induits.
Nous avons décider de ne pas décider et de la faire à la Neil Leifer, la légende de la photographie de sport qui pour certaines photos, limite certains formats et pas d’autres. Neil le fait avec une absence totale de logique. C’est parfois un format intermédiaire qui est en édition limité et les formats supérieurs redeviennent « open ». Mais personne ne lui dit que ce n’est pas logique, il est trop vieux. Quand j’en discute avec ses agents, la réponse est toujours la même : » C’est Neil.. »
Avec Jérôme, nous avons fait plus cohérent.
Tous les formats jusqu’au 60X90 sont en édition ouverte, vous pouvez même en acheter sur son site non signés ni certifiés. Vous les paierez le double à la galerie mais ils le seront. Ça change la donne même pour une édition ouverte.
Nous avons éteint le format 70
et à partir du format 80X120 ils ont en éditions limitées et accessibles uniquement par la galerie.
30 tirages en vente au départ, plus que 28 aujourd’hui
15 en 80X120, 10 en 100X150 et 5 en 120X180 ce qui commence à faire un sacré format.
C’est un 80X120, tiré sur Chromaluxe et placé en caisse américaine qui est exposé en ce moment.
Il est à 10.000€, je le laisserai partir à 8000€ mais uniquement celui-ci.
Pour une photographie qui commence à concurrencer le Ali Liston de Leifer en termes de notoriété, c’est plus que raisonnable. IL faut savoir aussi qu’elle croule sous les récompenses. Je ne vais pas vous faire l’inventaire, mais elle a été primée au WorldPresse, au POYI (Picture of the year) au AIPS awards et au World sports photography awards pour ne citer que les plus reconnus. Autant dire que c’est une star.
Elle est à vous à ce prix si vous venez la chercher avant dimanche soir.
Il faut y penser aussi pour une société. Pour la pièce d’accueil.
Si vous avez ça en grand dans le hall, le message est clair. Vous planez très haut et votre société ou cabinet tout pareil.
J’ai pris une photo de ce tirage exposé. Il est juste au dessus de la Rue Lepic.
Je fais la même offre pour la Rue Lepic : 8000€
C’est le N°2/3 du format 80X120 et tous les formats inférieurs sont déjà vendus
Il y a un format supérieur 100X150 en tirage unique (1/1) que je vais mettre aux enchères un peu plus tard.
Si vous prenez les deux c’est quand même 8 et 8
Pour les voir, c’est le lien ci-dessous.