Un mot sur l’œuvre
Portrait de Jean-Pierre Mocky réalisé pendant les années 90
Cette photographie a fait la « une » de Libé le lendemain de la mort du réalisateur.
Je devais faire un portrait pour le magazine LUI
J’avais pris rendez vous etc m’étais présenté à l’heure dite
Le réalisateur m’avait ouvert la porte en caleçon, visiblement endormi.
Il avait totalement zappé le rendez vous.
Pendant qu’il fait du café, il m’a demandé ce que je voulais faire
C’est pour le magazine Lui », ce serait bien que vous montriez quelque chose. Pourquoi ne pas rester comme ça. De toute façon, je n’ignore plus grand chose de votre anatomie..
Jean-Pierre Mocky, amusé a accepté et pris la pause.
La position du boxeur n’est pas choisie au hasard. L’auteur de « A mort l’arbitre » n’a jamais caché sa passion pour le sport, la boxe en particulier, et aussi le foot depuis sa carrière de gardien de but amateur, même si par ce film il souhaitait en montrer les travers.
Le choix de Jean-Denis
Le photographie longtemps oubliée a été remise en lumière à la mort du réalisateur. Elle est devenue culte.
Tirages disponibles
Format : 40×40 cm
Edition de 11
Tirage en vente : N°1/11 : 1 650 €
80×80 cm
Edition de 2
Tirage en vente : N°1/2 : 3 300 €
Possibilité d’acquérir les deux planches contacts originales de cette série. Planches de 12 vues.
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Tirages argentiquesTirage argentique Processus photographique traditionnel qui utilise des papiers recouverts d'une émulsion de gélatine contenant des sels d'argent sensibles à la lumière. Ce procédé repose sur un développement chimique qui révèle l'image capturée sur une pellicule, puis la transfère sur du papier photographique. Les tirages argentiques se distinguent par leur rendu unique et la possibilité d'intervention humaine à chaque étape, ce qui peut donner des résultats légèrement différents pour chaque tirage d'une même image. Ils sont souvent appréciés pour leur qualité et leur durabilité, bien qu'ils soient sensibles à l'humidité et à la chaleur. sur papier baryté par Didier Fontan
